Les Glandus

Lunettes sur le nez pour éviter de nous brûler la rétine lors du passage de la porte du temps, le professeur nous confie un communicateur temporel pour nous accompagner dans notre enquête. Blouse blanche sur le dos, il nous fait ses dernières recommandations avant de nous faire traverser la porte du temps jusqu'à la maison du musicien Carlo Gesualdo. Une dernière synchronisation des montres avec notre maîtresse du temps et nous voici plongés dans la maison du musicien. Plutôt bien décorée cette demeure, des tableaux, des fleurs... relativement épurée mais bien travaillée. Que s’est-il vraiment passé ici ? Rien de bon semble-t-il.... La musique nous accompagne dans nos découvertes des lieux, quelques trouvailles bien dissimulées nous permettent d'activer des éléments et ainsi un chemin se dessine peu à peu. Toutes les énigmes sont basées sur les madrigaux du musicien, et tourne tourne la manivelle et quelques ritournelles plus tard... L’étau se resserre, la mort nous observe du coin de l’œil dans ce salon et notre âme ne pèse pas lourd... Le sentiment d'un passé tragique se fait sentir dans ces lieux pourtant si bourgeois, il nous faut prolonger notre exploration et quelques symphonies plus tard... On relâche un peu la pression, on se déguise, on joue aux billes et puis quelques témoignages nous parviennent nous permettant de faire la lumière sur les événements du passé, Maria sera notre laisser passer, voilà donc la vérité sur ton histoire! Elle continue de trotter dans nos têtes sur le chemin du retour, enfin jusqu'à ce que notre rame de métro s'immobilise ! "avarie matérielle signalée station Cardinal Lemoine" et notre beeper d'urgence qui se met à vibrer...